
« Vous ne m’aimez pas, et bien sachez que je ne vous aime pas non plus ! », le poing levé, c’est ainsi que Maurice Pialat répondit aux huées cannoises lorsqu’il reçut la palme d’or pour son chef-d’œuvre Sous le Soleil de Satan. […]
« Vous ne m’aimez pas, et bien sachez que je ne vous aime pas non plus ! », le poing levé, c’est ainsi que Maurice Pialat répondit aux huées cannoises lorsqu’il reçut la palme d’or pour son chef-d’œuvre Sous le Soleil de Satan. […]