
La dernière fois que j’ai vu Macao commence en prolongeant O Fantasma et Mourir comme un homme, deux des films précédents de Joao Pedro Rodrigues. Du premier, il reprend le cadre fixe, mariage de l’emphase et du faux ; au second, […]
La dernière fois que j’ai vu Macao commence en prolongeant O Fantasma et Mourir comme un homme, deux des films précédents de Joao Pedro Rodrigues. Du premier, il reprend le cadre fixe, mariage de l’emphase et du faux ; au second, […]