
Une pluie glaçante, un vent sinueux, des gens perdus dans une tempête qui se réfugient dans une maison lugubre… Non ce n’est pas le pitch du Rocky Horror Picture Show, mais bien celui de La maison de la mort de James Whale où le refuge n’est pas fait de musique et de culture queer mais de grincements, miroirs déformants et visages stigmatisés.